Affaire Benalla: les relents sarkozystes de la communication de Macron
L’intervention du président français devant ses troupes puis devant les médias mardi soir, problématique à bien des égards, laisse en suspens nombre de questions.


Un collaborateur violent, un président taiseux et une affaire qui empoisonne l’Elysée depuis le 18 juillet. Le cas Benalla n’en finit pas de secouer les hautes sphères de l’Etat français, et d’en révéler ses failles. Depuis le début de la semaine, les auditions s’enchaînent à une vitesse folle : le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, le préfet de police de Paris Michel Delpuech, le directeur du cabinet du président de la République Patrick Strzoda, pour ne citer que les plus retentissantes. Tous se sont expliqués, avec plus ou moins de brio et de précision, devant des députés tenaces qui se sont parfois délectés – avec un poil trop d’enthousiasme – de cette affaire d’Etat.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
LA-MEN-TABLE! Vos balbutiements "présidentiels" ne cachent pas votre inconfort. Et charger la presse est devenu le leit motiv des populistes que vous contestez. Reconnaissez votre malaise, l'erreur de ce petit crétin de Benalla -à moins qu'il ne soit déjà dans la DGSI des intouchables?
Le jet de carafe d'eau a été relaté ben après le démarrage de l'affaire, me semble-t-il.
Macron - Trump, même combat, mêmes techniques ??
Si Benalla n'est pas son amant (dixit E.M.) pourquoi amener ce sujet dans ses "explications" ? hum hum ! ! ! A voir E.M. caresser toutes les personnes qu'il rencontre, on peut s'interroger sur cet aspect du personnage (même si c'est son droit). Est-ce une "amitié particulière" qui a permis de protéger Benalla d'une dénonciation à la justice jusqu'à ce que LE MONDE publie son article dévastateur ? A suivre . . .