De nombreuses maisons de repos doivent refuser de nouveaux pensionnaires
Les gestionnaires de maisons de repos ont appris à composer avec le manque de places

Les nouvelles chambres de la maison de repos La Closière à Wavre ont été inaugurées à l’hiver dernier. Les 13 places (154 plutôt que 141) qu’elles ont ajoutées aux capacités de l’établissement ont été vues comme une excellente nouvelle. « Même si l’augmentation est légère, elle a été bien accueillie par rapport à la demande que nous connaissons », commente rétrospectivement Nathalie Demortier, présidente du CPAS de Wavre.
Pour gérer les demandes, les responsables de la maison de repos procèdent à partir de listes : l’une dite « préventive », l’autre réputée « active ». La première s’enrichit des noms des personnes qui, à terme, se verraient bien intégrer l’établissement ; la seconde, des patronymes de celles qui, à plus brève échéance, souhaitent changer de milieu de vie. « Sur la première, cela va vous faire peur, il y a 255 noms, sur la seconde, il y en 96 », indique Nathalie Demortier.

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