Romeo Castellucci au «Soir»: «Ce n’est pas le devoir de l’artiste d’améliorer le monde»
Ce sera « l’artiste » de la rentrée culturelle à Bruxelles. Le metteur en scène, homme de théâtre et artiste italien Romeo Castellucci est très attendu pour sa « Flûte enchantée » à la Monnaie, avant Bozar, Kanal et la Cinematek.


Depuis Salzbourg,
Romeo Castellucci nous dévoile ce qui a fait de cet être doux un artiste intense et radical qui ne fait pas des spectacles pour (ré)conforter le spectateur mais pour qu’il se voie mieux et s’interroge : « Et si c’était moi le méchant ? Si c’était moi l’assassin ? »
Vous ne seriez pas devenu ce que vous êtes si ?
Ah ! (il répond illico). Si je n’avais pas trouvé un livre par hasard sur la table de la cuisine lorsque j’étais adolescent. C’était un livre de ma sœur, consacré à l’histoire de l’art. Quand je l’ai feuilleté, ce fut pour moi comme une bombe, la sensation de la découverte d’un autre monde. Et à partir de là, j’ai changé ma vie.

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