Quatre recours et un contrat
Mi-juillet dernier, la Régie des bâtiments annonçait qu’une « passation de contrat » avait bel et bien été conclue avec Cafasso, le consortium belgo-néerlando-australien désigné pour mener à bien la construction et la maintenance du futur complexe carcéral harenois. Cette décision, annoncée au travers d’un communiqué laconique et synonyme d’un passage à la vitesse supérieure dans la procédure d’exécution du chantier, a pris beaucoup de monde par surprise. En effet, le ministre de l’Intérieur Jan Jambon (N-VA), également chargé de la tutelle sur la Régie des bâtiments, avait laissé entendre un mois plus tôt en commission parlementaire de la Chambre que les travaux ne commenceraient pas tant que des recours suspensifs liés au projet étaient encore pendants devant le Conseil d’État.

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