Comment Varsovie a instrumentalisé la Belgique pour faire refouler une dirigeante d’ONG
Après les juges des pays de l’UE, au tour des policiers. Ils se demandent eux aussi s’ils peuvent automatiquement exécuter les décisions des autorités polonaises. Illustration avec l’« affaire Ludmila Kozlovska », une ressortissante ukrainienne récemment refoulée de l’aéroport de Bruxelles sur base d’une alerte Schengen lancée par Varsovie.

Depuis Varsovie,
Peut-on encore se fier à Varsovie ? Alors que la reconnaissance mutuelle est un fondement de la coopération entre États membres de l’UE, l’affaire Ludmila Kozlovska constitue un nouvel exemple des risques encourus par les partenaires de la Pologne lorsqu’ils s’en remettent au jugement de ses autorités, de moins en moins démocratiques et soumises au droit.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Voisine de l'Ukraine, la Pologne connaît bien le danger de ces ONG. Depuis cette révolution de Maidan, le chaos politique règne encore et toujours à Kiev, les milices d'extrême-droite ne sont toujours pas éradiquées et la guerre civile ronge plusieurs zones.