Stéphane Pauwels, l’homme que l’on adore détester
L’ovni du paysage médiatique francophone a transformé son image en business model. Personnage unique, multi-facettes, il est devenu une marque. Mais aussi ingérable.

Il arrive à Stéphane Pauwels de lever le pied. Pour se ressourcer, son truc, c’est la foule. Celle qui fleure bon l’ordinaire. Bon enfant, joyeuse, sans prise de tête. Sans stress, ni strass. Comme dans ces bistrots de Mouscron, sa ville natale, où il n’est pas rare de le voir débarquer. Une improvisation semi-orchestrée, dégainant un tweet de convocation pour annoncer sa visite. A coup de tournées générales (l’homme est de nature généreuse), il y arrose celles et ceux qui l’aiment. Et qu’il aime, aussi. Profondément. « Steph » baigne dans son élément : les gens, ceux-là même qu’il est capable d’incarner en immersion totale lorsqu’il « fait le job » d’éboueur, policier, boulanger, puériculteur, forain ou déménageur.
Jusqu’au bout de la nuit s’il le faut, il claque les bises et les « tope-la ». Distribue les selfies, dont l’effet multiplicateur sur les réseaux sociaux l’aidera à soigner une cote de popularité obsessionnelle.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Pauwels TVI mania. l'overdose
Quel est l'intérêt de ce genre d'article qui relève de la presse people? En plus cet article a mobilisé trois journalistes...
S. Pauwels est un phénomène de foire ou un phénomène de société c'est selon. C'est bien le rôle de la presse que d'informer son public (surtout un public non averti comme moi) à l'occasion d'un évènement majeur le concernant.