La défaite du FN, un sursaut ou un sursis?
Pour la première fois depuis 135 ans, un parti d’extrême droite s’est imposé comme le premier parti de France au premier tour d’élections. Pour lui faire barrage, ce sont toutes les forces de l’Hexagone, et pas seulement politiques, qui ont dû se mobiliser. Mais la guerre n’est pas gagnée pour autant.


Survol du champ de bataille après désastre.
C’est l’un des scrutins les plus inquiétants, les plus traumatisants, les plus lourds de menaces, mais aussi les plus baroques de son histoire électorale que la France vient de vivre.
On pourrait, en effet, résumer la situation de cette façon : le grand vainqueur a été le grand perdant. Ceux qui ont engrangé le plus de succès sont les plus fragilisés et ceux qui ont accumulé le plus d’échecs ont le plus de raisons de se réjouir des résultats.

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