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L’extrême-droite allemande refuse de se débarrasser de son aile néonazie

Après la manifestation unitaire de mouvements d’extrême-droite, samedi à Chemnitz, la mise sous surveillance de l’AfD, premier parti d’opposition à l’assemblée fédérale, est évoquée.

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Depuis Berlin,

Faut-il surveiller le parti d’extrême-droite AfD (Alternative pour l’Allemagne), la première force d’opposition à l’assemblée fédérale (Bundestag) ? La question occupe tous les médias en ce début de semaine après les manifestations très agressives de Chemnitz en Saxe où plusieurs mouvements d’extrême-droite ont marché côte à côte pour dénoncer la politique migratoire d’Angela Merkel (voir nos trois portraits).

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