Pierre Lejeune (CGSP-Cheminots) au «Soir»: «Il n’y a plus de dialogue social»
Pierre Lejeune est le nouveau président de la CGSP-Cheminots depuis le 1er septembre. Il estime que les directions d’Infrabel et de la SNCB négligent trop souvent la concertation.


Pierre Lejeune, ex-secrétaire national de la CGSP-Cheminots, est désormais le président, poste où il succède à Michel Abdissi. Elu au début de l’été (Le Soir du 23 juin 2018), c’est ce lundi qu’il a effectivement pris ses quartiers dans son nouveau bureau. Où l’attendaient plusieurs gros dossiers : emploi aux chemins de fer, pensions des cheminots, élections sociales… Autant de d’obstacles qu’il entend aborder en homme de « consensus ». « Mais quand il faudra passer à l’action, je ne serai pas très différent de mon prédécesseur », prévient-il. Pour rappel, le syndicat socialiste avait mené (seul) une grève de 48 heures à la fin du mois de juin pour protester contre la réforme du régime des pensions (notamment la définition des métiers « pénibles ») que le gouvernement Michel veut mettre en œuvre.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Arrêtons les privilèges pour les cheminots. Le service rendu n'est pas à la hauteur. Travaux, arrêts ,...interminables. La durée des trajets ne cesse d'augmenter. Pourquoi des salaires et des pensions surfaites ? Ces fonctionnaires devraient se confronter à une concurrence...Stop aux privilèges !