«La qualité des kots laisse à désirer»

Autrefois, c’était les fourmis rouges qui envahissaient toutes les armoires de certains kots. Aujourd’hui, les étudiants se plaignent de la présence de souris ou de perce-oreilles, quand ce ne sont pas des moisissures qui apparaissent après un mois, bien cachées jusque-là par une nouvelle couche de peinture.
Depuis des années, la question des kots est une source de conflits permanente entre les représentants des étudiants d’un côté, l’UCL et les sociétés de location de l’autre. On n’en est plus au temps des manifestations devant certains loueurs, mais une dernière enquête de l’Assemblée générale des étudiants de Louvain (AGL), à laquelle 1.755 jeunes ont répondu, démontre que le problème persiste.

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