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Ryanair: diplomate en Belgique, menaçant en Allemagne

En Belgique, Ryanair doit analyser la convention proposée ce mardi par les syndicats. En Allemagne, où il y aura grève ce 12 septembre, la compagnie menace de supprimer des vols, donc des emplois.

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 4 min

En irlandais comme dans le reste de l’empire Ryanair, on mélange « marcher sur des œufs » et « le cul entre deux chaises ». Montrer d’un côté sa bonne volonté à négocier des avancées sociales promises depuis près d’un an et, de l’autre, afficher sa détermination à dire non, quitte à menacer. C’est le résumé de la journée de mardi pour la low cost irlandaise.

À Bruxelles, devant le président de la commission paritaire, plus devant un « simple » conciliateur social, Ryanair participe à une nouvelle tentative de négociation avec les représentants des syndicats (CNE/LBC, Setca, CGSLB) ainsi que des pilotes (Beca). Il y a déjà eu constat de carence (échec) lors d’une précédente tentative qui n’ pas permis d’éviter les grèves du mois d’août. Ce 11 septembre, c’est une autre grève qui est dans le collimateur des négociateurs, la probable « plus grande action de grève que la compagnie ait jamais connue » du 28 septembre.

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