La concertation sociale au plus bas, la tension au plus haut
CSC et FGTB seront dans les rues le 2 octobre, lors d’actions décentralisées. Le signe d’une concertation en panne. Et d’une FGTB décidée à peser sur le terrain électoral. Analyse.


Cette fois, c’est clair : le 2 octobre, le front commun syndical sera dans la rue. Le mot « grève générale » a été soigneusement évité mais, par le biais d’actions décentralisées dans les différentes villes du pays, cette journée sera marquée par d’importantes perturbations, signe du fossé entre les projets du gouvernement et les positions des représentants des travailleurs.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Décidément, le business model de ces gents semble bien la mise en place d'actions de grève, anti-wallonnes, anti-démocratiques et contraires à toutes logiques économiques. Justification: La base et les instances en ont décidé ainsi !! Super!! Plus il y aura de grèves, plus il y a de perte de rentabilité, dont plus de marasme dans les entreprises et plus de chômeurs donc plus de fgtb-istes et encore plus de grèves. Bel avenir ! Le Flamands sont définitivement plus malins que nous. Ils ne s'impliquent pas, récupèrent nos acquis, se moquent de nos actions et s'en servent comme arguments pour attirer les investisseurs. Depuis les années que cela dure, ça commence à bien faire, vous ne trouvez pas ?
Non