IVG hors du code pénal: «Je peux comprendre l’IVG dans certaines situations»
L’évêque de Tournai estime qu’il n’a pas à commenter les décisions du CD&V et du CDH qui vont voter une loi sortant l’avortement du code pénal.
Sur la question de l’IVG, que le gouvernement, avec l’appui du CDH, entend sortir du code pénal (en maintenant néanmoins des sanctions pénales), l’évêque se montre plus flou. Il n’a pas à commenter les choix posés par les partis « chrétiens », estime-t-il. Il dit s’inquiéter du fait qu’une femme forcée d’avorter par son compagnon, par exemple, ne pourrait plus être protégée, comme elle l’est par le code pénal. Nous signalons que faire avorter une personne sans son consentement resterait une infraction dans le code pénal. Dans ce cas… « Pour le reste, avec l’évolution des mentalités, je ne sais pas exactement vers où on va, poursuit l’évêque. L’avortement n’est quand même pas un acte banal, mais je peux le comprendre dans certaines situations. Je ne condamne pas. »

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