L’avis du «Soir»: à Anvers, la roue peut toujours tourner

En 2012, Bart De Wever avait triomphalement marché sur Anvers annonçant que la victoire de la N-VA marquerait un « tournant dans l’histoire ». Dans son premier discours en tant que bourgmestre, il déclarait avoir pour ambition de mettre sur pied « u ne ville où il est bon de travailler, de se faire soigner, d’apprendre, de vivre, et où les gens peuvent se déplacer. »
Six ans plus tard, le résultat est mitigé. De Wever a réussi à renforcer l’attractivité de la plus grande commune du pays. Les promoteurs immobiliers s’y pressent (un peu trop au goût de certains) et les nouveaux quartiers modernes fleurissent. Il peut aussi se targuer d’être le bourgmestre qui a signé l’accord sur la finalisation du ring, source de tensions avec les associations de riverains depuis plus de vingt ans.

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