Preud’homme-Mazzù: un respect mutuel
Depuis cinq ans, Michel Preud’homme et Felice Mazzù ont appris à se connaître. Les deux entraîneurs entretiennent une relation plutôt rare dans un milieu du foot où l’ego prime.

Il y a 20 ans, Mehdi Bayat n’était pas en mesure de situer le Mambourg sur une carte du football belge alors que Bruno Venanzi arpentait déjà les travées de Sclessin. À cette époque, Felice Mazzù n’était pas encore T1 dans un club alors que, du côté de Benfica, Michel Preud’homme terminait sa remarquable carrière de joueur.
Deux décennies plus tard, ces quatre hommes seront au cœur du duel wallon de ce samedi. Si on ne peut pas affirmer que les deux dirigeants passeront un jour des vacances ensemble, l’estime est, en revanche, réciproque en ce qui concerne les deux entraîneurs. Une affinité entre coachs qui n’est pas évidente dans ce milieu marqué par l’ego comme quand, la saison dernière, Hein Vanhaezebrouck et Ricardo Sa Pinto jouaient dans le même bac à sable pour régler leurs comptes.

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