Charline Van Snick: «Ce n’est pas parce que je me suis loupée à l’Euro que je ne suis plus une championne»
En l’absence de Toma Nikiforov, la Liégeoise sera la principale chance de médaille belge en Azerbaïdjan. Depuis son passage en moins de 52 kg, elle est toujours dans l’attente d’un podium dans un grand championnat. Après avoir tenté de gérer sa carrière en autarcie, elle est revenue récemment dans le giron de la fédération.

À Paris, où elle vit depuis plusieurs années avec son mari, Charline Van Snick a ses adresses. Quand elle « reçoit », c’est souvent dans la même brasserie située à quelques centaines de mètres de la Porte de Vincennes. « J’y trouve de tout et je peux demander la cuisson que je souhaite ! », dit-elle en découvrant son poisson à la vapeur. Avec les Mondiaux de Bakou qui démarrent ce jeudi, elle sait qu’elle sera attendue et que, avec l’absence sur blessure de Toma Nikiforov, il y aura un peu plus de pression que d’habitude sur ses épaules. Pas de quoi, toutefois, faire paniquer la Liégeoise, désormais 9e mondiale en moins de 52 kg, la catégorie qu’elle a rejointe après sa déception des JO de Rio, quatre ans après sa médaille de bronze en moins de 48 kg à Londres. Plus déterminée que jamais à 28 ans, elle a hâte de retrouver le haut de l’affiche avec l’aide de la Fédération francophone, dont elle s’est rapprochée quelques mois après avoir tenté de gérer elle-même tout son programme.

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