Costantin au «Soir»: «Au Standard, les gardes du corps me suivaient partout, même aux toilettes»
Alphonse Costantin ne raffole pas des interviews pour lesquelles, il est plus méfiant qu’un Sioux sur le sentier de la guerre. Avait-il cette fois envie de vider son sac ?

On ne l’a pas vu dans le Vercors sauter à l’élastique. Ni chercher des amphores, au fond des criques. Il n’a pas fait la cour à des murènes. En revanche, il fréquente quelques tribunes d’honneur. Quelques belles tribunes d’honneur. Celle du Standard n’a plus de secret pour Alphonse Costantin. Dernièrement, il a assisté au match Anderlecht-Antwerp. Où il a croisé de nouveau la route de Lucien D’Onofrio. En fait, Alphonse va partout où sa passion du foot le conduit. Diable ! On ne balaye pas ainsi tant de saisons passées sur les terrains. Costantin, c’est le titre « d’arbitre de l’année » en 1992 et 1993. C’est une finale de coupe des champions (1987) entre le Bayern de Munich et le FC Porto. Dans le privé, l’homme s’est imposé comme un consultant en entreprises. A ce titre, il dispose d’un impressionnant carnet d’adresses. Autant sa réputation est sujette à discussions dans le milieu du foot, autant il est hautement apprécié dans le monde exigeant des affaires.

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