Ardisson, pourvu qu’on en parle, en bien ou en mal...
Qu’on dise du bien ou du mal de lui… pourvu qu’on en parle. Ce pourrait être le slogan de l’homme en noir. Qui doit être ravi. Le clash entre Zemmour et Hapsatou Sy, sa chroniqueuse, tout le monde en parle. Portrait.


C’est au cœur des années 80 que sa gueule d’oiseau de nuit apparut au grand public. À l’heure où la France vivait au rythme des Champs Elysées de Michel Drucker et de Sacrée Soirée de Jean-Pierre Foucault, émissions de variétés bienveillantes et parfois complaisantes pour les artistes, la tchatche branchouille, provocatrice et libertine de Thierry Ardisson faisait du bien.
Avec des émissions comme Descente de police ou Lunettes noires pour nuits blanches, l’ex-homme de pub réinventait le genre de l’interview, en préférant aux salons bourgeois de ses prédécesseurs les clubs, bars ou boîtes de nuit, dans lesquelles une faune glamour et underground se mêlait à quelques princes de la nuit, tels Gainsbourg, Daho, Béatrice Dalle ou Iggy Pop.

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