«Un rôle majeur dans notre défaite»

On a un moment cru, et peut-être lui aussi, qu’il sauverait sa semaine à l’occasion du simple dominical. Un « eagle » planté au trou nº9 semblait être tombé à point nommé pour enfin lui donner les ailes qu’il n’a jamais déployées sur le Golf national. Mais il était écrit qu’une semaine après avoir subjugué la planète entière en remportant du côté d’Atlanta la 80e victoire de sa carrière après cinq ans de disette, Tiger Woods ne parviendrait toujours pas à vaincre le signe indien dans cette compétition qui sublime une fois tous les deux ans le jeu d’équipe.

Une vertu visiblement si peu adapté à cet individualiste forcené, ce loup solitaire qui a visiblement du mal à rompre ses routines pour entrer dans celles d’une équipe. Alors contre John Rahm non plus, il n’y est pas arrivé.