Depuis 1994, Cécile Massart s’intéresse à la mémoire et aux informations que nous laisserons aux générations futures à propos des sites de stockage de déchets nucléaire. Une problématique qu’elle traite par la gravure, le dessin, la photographie, la sculpture… Jusqu’au 25 avril au Botanique.
La torture en Syrie condamnée à Coblence: les leçons d’un verdict