Des «pieds nickelés» du matricide
Deux hommes jugés en appel à Bruxelles pour avoir tenté d’assassiner une riche nonagénaire. Condamnée à 14 ans de prison alors qu’elle n’a jamais avoué, la fille n’a pas fait appel.

Les deux actrices principales du drame humain qui s’est joué en août 2014 à Hoeilaart étaient absentes de la cour d’appel de Bruxelles, ce mardi. La première, Denise B., nonagénaire et veuve depuis 2010, victime d’une tentative d’assassinat, se trouve hospitalisée en soins palliatifs à la suite d’une mauvaise pneumonie. La seconde, sa propre fille adoptive, Annick Van der Elst, 51 ans, a accepté sa sentence, une peine de 14 ans de prison, alors qu’elle n’a jamais reconnu les faits. Restaient deux hommes : Dominique Lucas, son ex-compagnon et père de leur fils, et Jean-Ferdinand Wegria, celui qui devait exécuter le contrat. Deux « pieds nickelés », selon l’avocat général Stéphane Lempereur, dont « le mea culpa fait peu de cas de la victime ».

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