A Bruxelles, l’ULB repense ses campus, appelés à devenir «de petites villes»
Face à un nombre d’étudiants en hausse constante couplé à la digitalisation de l’enseignement, l’université planche sur ses infrastructures. Exit les maxi amphis, le campus de demain sera thématique, plus vert et plus convivial.


Avec un nombre d’étudiants sans cesse croissant, on va sans doute atteindre la barre des 29.000 pour cette rentrée académique, l’Université libre de Bruxelles a fort à faire pour digérer cet afflux et offrir un cadre optimal à celles et ceux qui fréquentent ses campus. « Chez nous en médecine, on dit toujours que l’architecture est thérapeutique, entame le recteur Yvon Englert. Ce qui veut dire que l’environnement dans lequel on travaille n’est pas neutre et nous avons beaucoup de mal avec cela car les budgets infrastructures sont très en dessous de ce que tout architecte estimera nécessaire pour entretenir un certain nombre de m2 sur le long terme ».

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