Article réservé aux abonnésPar Danièle GillemonTemps de lecture: 3 min
Afflux de couleurs, abondance, ardeur, allégresse… tous ces superlatifs sont de mise face aux grands tableaux composés de papiers marouflés de Noëlle Koning, à leur dynamique d’expansion florale, d’impétuosité colorée qui procède d’une aventure permanente. Bien connue des cimaises pour avoir inventé une forme de lyrisme abstrait à l’aune d’une méthode singulière, elle ouvre la saison à la galerie Marie-Ange Boucher sur un mode symphonique.
Cet article est réservé aux abonnés
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois
(sans engagement)
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire