Immortalisé à l’écran en 1978 par Ingrid Bergman et Liv Ullmann, le film « Sonate d’automne » d’Ingmar Bergman est aujourd’hui transposé à la scène par Bruno Emsens.
Du 1er au 17 décembre à l'Atelier Théâtre Jean Vilar (Louvain-la-Neuve).
Article réservé aux abonnésPar Catherine MakereelTemps de lecture: 3 min
La pièce a beau se présenter comme une
Sonate d’automne
, se déployer dans la paisible campagne suédoise, s’orchestrer autour d’une grande pianiste et d’une épouse de pasteur, ces apparences ouatées n’empêchent pas la scène de se transformer en partie de catch. Les poings deviennent des mots, les tailleurs chics et sages chemises de nuit ont remplacé les slips bariolés, les reproches voilés tiennent lieu d’assauts, mais ce n’en est pas moins un carnage entre deux humains. Et nous, spectateurs, comptons les ecchymoses à la fin de chaque round, fussent-elles invisibles car plus intérieures.
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En plein air, dans des espaces volontiers malfamés, Pauline Desmarets et Olivia Smets se débattent avec leur amour-haine pour le (misogyne) rappeur Booba.
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