Philippe Close: «Non, je n’ai pas reçu de coup de fil d’Elio Di Rupo pour prendre Défi»
Le bourgmestre de la Ville de Bruxelles se réjouit de l’arrivée de Fabian Maingain à la table de négociations. « J’ai besoin de contre-pouvoirs au sein du collège ».


Une semaine qu’il a réussi son incroyable pari : installer (confortablement) le PS en tête, à la Ville de Bruxelles, et asseoir sa popularité (8.501 voix, mieux que Freddy Thielemans en 2012).
Une semaine que Philippe Close fuit les médias, pour se concentrer sur son nouvel objectif, définir un projet de ville ambitieux. Mais, lundi matin, il avait promis au patron de la Wetterenoise de passer au lancement d’un nouveau pain, BruXSels. Alors, on lui vole quelques minutes, dans l’antichambre de la salle Maximilienne. On le retrouve enthousiaste, déterminé, serein. Très fatigué, d’ailleurs, il a décrété, en accord avec ses partenaires, une semaine de pause, à la Toussaint, pour se reposer avant les négociations de l’accord de majorité, qui aboutiront fin novembre. Et heureux, fier ? « Je ne réalise pas encore ce score… »

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Le vrai contre-pouvoir à la Petite politique des copains de la Ville, ça aurait été le PTB, qui, au vu des résultats des Communales, le méritait bien plus. Mais il était un peu trop contre pour ce pouvoir-ci... pas con l ex-rugbyman, trop longtemps sur la touche! ;-)
Mettre un type de droite à l économie et à l emploi. Après Marion Lemesre MR au commerce sous Thielemans-Mayeur, rien change à Bxl! Quel contre-pouvoir attendre d'un parti qu'on invite généreusement à rejoindre la majorité? Ça pue l arrangement pré-électoral à plein nez!