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Les livreurs Deliveroo veulent un mouvement à la Ryanair

Coursiers à vélo et syndicats de douze pays européens se réunissent à Bruxelles jeudi et vendredi. Le but ? Organiser leurs revendications en mouvement paneuropéen. En Belgique, l’auditorat du travail poursuit depuis plus d’un an une enquête « complexe » pour trancher leur statut.

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 4 min

Ils sont devenus inévitables, partie intégrante du paysage urbain de Londres, en passant par Rome, jusqu’à Paris et Bruxelles. Eux, ce sont cette nouvelle main-d’œuvre à bicyclette qui livre à toute heure du jour et de la nuit de plus en plus de plats de restaurant à domicile pour le compte de « plate-formes » comme Deliveroo, UberEats (les deux sont actives chez nous) ou encore Foodora, autre leader de la « foodtech ».

Eux, de plus en plus nombreux aussi, en ont surtout « marre de ne pas être entendus » par les multinationales, qui les emploient « à la demande », sur leurs conditions de travail qu’ils estiment « déplorables, dangereuses, sous-payées et sous protégées ». Un peu partout en Europe, ils se sont donc organisés en collectif pour défendre leurs droits ces deux dernières années. La Belgique ne fait pas l’exception avec plusieurs arrêts de travail chez les coursiers Deliveroo à son actif.

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