Article réservé aux abonnésChef adjoint au service Culture
Par Jean-Marie WynantsTemps de lecture: 3 min
Ceci n’est pas une expo Klimt ! Autant l’affirmer haut et fort dès le départ afin de ne pas décevoir ceux qui se précipiteraient à Bozar pour y découvrir les œuvres du maître autrichien. Si on le retrouve bien en tout début d’exposition, on passe immédiatement au travail d’autres artistes parmi lesquels Egon Schiele est, lui aussi, réduit à la portion congrue. Dans son cas, c’est sans doute en partie dû à la grande exposition qui lui est actuellement consacrée à la Fondation Vuitton à Paris. Dans le cas de Klimt, c’est tout simplement dû au fait que l’exposition est consacrée à tout ce qui va advenir au-delà de sa disparition, comme son titre (Beyond Klimt) l’indique.
Voyageant de 1914 à 1938, le visiteur plonge dans une Europe centrale où tous les repères vont basculer avec la guerre mondiale avant de se reconstruire dans une nouvelle Europe qui ne veut pas penser que la tragédie peut se reproduire une nouvelle fois.
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