Les frais de justice, un vecteur crucial pour la précarité hydrique
Sia partners s’est penché sur l’impact du coût de l’eau pour les ménages précarisés. Un travail de fond qui doit permettre de dégager des pistes pour contrer coupures de compteurs et autres surendettements.

A la demande la ministre Céline Fremault (CDH), Le cabinet de conseil indépendant français Sia partners s’est plongé dans l’important dossier de l’eau en Région bruxelloise et plus particulièrement sur l’impact financier de la consommation pour les ménages les plus défavorisés. Ce mardi, un des représentants de la société française, Jean Trzinski, venait présenter le résultat de ce travail mené en collaboration avec différents acteurs dont Vivaqua, la Fédération des services sociaux, les CPAS ou encore la Fondation Roi Baudouin aux parlementaires bruxellois. « L’idée était à la fois de faire un état des lieux de la pauvreté et de la procédure en vigueur actuellement en Région bruxelloise mais aussi de lister une série de propositions émanant des différents acteurs et, enfin de créer un modèle permettant, sans dépenser plus d’argent, d’aider davantage de personnes ».

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