Apollinaire, un siècle plus tard
Le poète du « Pont Mirabeau » mourait il y a précisément 100 ans, à la veille de l’Armistice.


Les combattants, épuisés, allaient définitivement déposer les armes. L’Europe comptait près de vingt millions de morts. La Première Guerre Mondiale touchait à sa fin. Et c’est là, à l’avant-veille de l’armistice, qu’il rendit son dernier souffle. Ce vendredi, on célèbre le centenaire de la mort de Guillaume Apollinaire, né Wilhelm de Kostrowitzky le 25 août 1880 à Rome et indissociable, dans la mémoire collective, des artistes victimes de la Grande Guerre, à l’instar d’Alain-Fournier.

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