Sandre monte en puissance jusqu’à un final visuellement troublant
Découvert dans le Off du Festival d’Avignon, « Sandre » débarque à Bruxelles. Erwan Daouphars accouche d’une Médée moderne. Mi-homme, mi-femme, il exorcise les démons de l’infanticide.
Article réservé aux abonnésPar Catherine MakereelTemps de lecture: 3 min
Une fois, j’ai tué quelqu’un, même si je ne suis pas folle.
» Bien avant que ces mots ne sous-entendent le drame, on avait bien deviné que
Sandre
nous emmènerait en eaux troubles, du côté de sombres fourrés plutôt que vers une clairière joyeuse. Cette semi-obscurité tenace, cet abat-jour piteux et puis ce tapis de clous, hérissés comme une menace permanente sous le moelleux fauteuil de salon posé au centre de la scène : on sentait bien, dès le départ, que cette pièce de Solenn Denis ne serait pas une tranche de rigolade.
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De Laeken à Bruxelles-Villes en passant par Haren et Neder-Over-Heembeek, le festival Hopla déploie ses spectacles de cirque, accessibles gratuitement, dans différents quartiers de Bruxelles. Et fait la part belle aux compagnies belges.
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