Accueil Culture Scènes Les spectacles à l'affiche

Sandre monte en puissance jusqu’à un final visuellement troublant

Découvert dans le Off du Festival d’Avignon, « Sandre » débarque à Bruxelles. Erwan Daouphars accouche d’une Médée moderne. Mi-homme, mi-femme, il exorcise les démons de l’infanticide.

Du 13 au 16 novembre au 140 (Schaerbeek).

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 3 min

Une fois, j’ai tué quelqu’un, même si je ne suis pas folle.  » Bien avant que ces mots ne sous-entendent le drame, on avait bien deviné que Sandre nous emmènerait en eaux troubles, du côté de sombres fourrés plutôt que vers une clairière joyeuse. Cette semi-obscurité tenace, cet abat-jour piteux et puis ce tapis de clous, hérissés comme une menace permanente sous le moelleux fauteuil de salon posé au centre de la scène : on sentait bien, dès le départ, que cette pièce de Solenn Denis ne serait pas une tranche de rigolade.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Les spectacles à l'affiche

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs