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Chronique amère d’une révolution trahie

Alaa al-Aswany met en scène Le Caire de la révolution. Celle de 2011. Son récit, choral, voit s’entrecroiser maints destins humains. Un grand roman où le cynisme et l’hypocrisie s’allient pour défaire l’espoir.

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 2 min

Un nouveau roman, « choral » comme Alaa al-Aswany les aime. Des personnages de la société égyptienne qui se côtoient, se croisent, se toisent, s’ignorent ou se déchirent, sauf ceux qui finissent par s’aimer. Le grand auteur égyptien rendu mondialement célèbre par L’Immeuble Yacoubian (2002) était sur la place Tahrir en janvier 2011. Il a vécu la révolution qui a mis fin au règne de Moubarak. Il a été pris dans le tourbillon. Il y a cru. J’ai couru vers le Nil (1) rend compte de cette épopée, de cette année frémissante. Et sanglante.

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