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La colère des «gilets jaunes» inquiète l’Elysée

« L’addition des colères et des blocages ne fait pas un projet pour le pays », a averti Emmanuel Macron. L’exécutif fait des gestes envers les automobilistes mécontents. Mais pas question de changer de cap en renonçant aux taxes sur le carburant.

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Envoyée permanente à Paris Temps de lecture: 4 min

Depuis Paris,

Tout faire pour éviter le «  bololo  » (le bordel, en argot), pour reprendre le mot du Premier ministre Édouard Philippe. Alors que le mouvement des « gilets jaunes » menace de bloquer le pays samedi, c’est le branle-bas de combat dans l’exécutif. Le signe d’une fébrilité certaine devant cette colère sociale atypique née de la hausse du prix des carburants.

«  L’addition des blocages et des colères ne fait pas un projet pour le pays  », a averti mercredi soir Emmanuel Macron, invité du journal de vingt heures de TF1. Il a dit comprendre l’impatience des Français. «  Mais regardons les choses en face : les trois quarts de l’augmentation à la pompe sont dus au cours mondial du pétrole  », a-t-il souligné.

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