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Anne Teresa De Keersmaeker entre transmission et questions

La reprise de « Fase », première chorégraphie d’Anne Teresa De Keersmaeker en 1982, est encore à l’affiche ces vendredi et samedi. Si la chorégraphe a transmis son rôle, elle est sur tous les fronts avec sa compagnie.

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Chef adjoint au service Culture Temps de lecture: 4 min

Une création à Berlin en septembre dernier, une rétrospective au Festival d’Automne à Paris, un nouveau livre aux éditions Mercator, un projet de comédie musicale à New York… Anne Teresa De Keersmaeker et sa compagnie Rosas sont sur tous les fronts.

Mais dans toute cette activité, c’est sans doute la reprise de Fase qui a posé le plus de questions à la chorégraphe. Pour la première fois depuis la création en 1982, elle a en effet quitté la scène et transmis son rôle à deux jeunes danseuses. Une décision difficile mais inévitable lorsqu’on pratique un art où le corps est au centre de tout.

« Évidemment, en danse, il n’y a pas d’autre endroit que le corps, explique-t-elle. C’est, par définition, ce qu’il y a de plus contemporain. C’est aussi le lieu du passage du temps. Je le vis avec mon propre corps. »

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