«Non, c’est non»: la rage des femmes contre les violences sexistes
Près de 5.000 manifestantes et manifestants ont marché ce dimanche à Bruxelles pour dénoncer les violences faites aux femmes. En Turquie, en Colombie, en Espagne ou au Chili, elles sont des dizaines de milliers à s’être mobilisées.


P ourquoi je suis venue manifester ? La question c’est plutôt pourquoi tous les autres ne sont pas venus ! » Agnès, bout du nez rose vif, raccord avec les fleurs qu’elle porte dans les cheveux, se frotte vigoureusement les mains. Elle a appris l’existence de cette manifestation contre les violences sexistes assez tardivement : « Mais dès que j’ai vu que quelqu’un chose était prévu en Belgique, je n’ai pas hésité. » À l’appel de très nombreuses organisations féministes fédérées au sein de la plate-forme Mirabal Belgium, près de 5.000 manifestantes et manifestants (selon la police, NDLR) ont marché ce dimanche, au départ de la place Poelaert à Bruxelles, pour protester contre les violences faites aux femmes.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
alors que la TURQUIE a été la 1ère à ratifier la Convention d'Istambul de 2011, la police turque a fait usage de gaz lacrymogène pour empêcher une marche non-autorisée ce dimanche à Istambul.Un millier de personnes, en majorité des femmes, ont été repoussées par des policiers anti-émeutes ! Qu'en pense le Conseil de l'Europe dont émane cette convention ?