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Thomas Stuber: «Nous nous replions de plus en plus sur nous-mêmes»

« Une valse dans les allées » est un joli conte poétique sur fond de réalisme social.

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Journaliste aux services Culture et Médias Temps de lecture: 4 min

Pour son deuxième long-métrage, l’Allemand Thomas Stuber nous emmène dans les allées d’un entrepôt de supermarché, métaphore d’une société du travail en perte de communication et de rapports humains. Reste l’imaginaire et la poésie du quotidien…

Peut-on résumer le film comme une histoire d’amour dans un entrepôt de supermarché ? Avec cet entrepôt comme personnage principal ?

Je dirais que le marché est un protagoniste, mais pas le principal. Peut-être qu’il n’y a pas de personnage principal. C’est un endroit atypique où se développent des relations humaines, amoureuses, et qui pousse les gens à s’évader, à se perdre dans les fantasmes, le rêve et la poésie.

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