La nostalgie de Cuba, la chaleur de la chair
Desirée Fe est une de ces grandes amoureuses de la littérature. Et Zoé Valdés manie avec ardeur et talent la rhétorique érotique féminine.


Sur la couverture, une très belle photo de Flor Garduño, une femme sculpturale se cache sous une immense feuille. Dans son roman, Zoé Valdés, elle, ne cache rien. Ni de sa nostalgie pour les quartiers populaires de La Havane, où elle est née en 1959, où elle a grandi, où elle a écrit ses trois premiers romans, et qu’elle a quittés après avoir publié Le néant quotidien, mal perçu par le régime, pour s’exiler à Paris, en 1995. Ni de sa détestation du régime castriste. Ni de l’éveil de sa sexualité, à ses 16 ans, des torrents du désir qui l’emportent, de la soif du plaisir de la chair.

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