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Le Premier ministre grec Alexis Tsipras refuse «ultimatums et chantages»

Les créanciers de la Grèce proposent 15 milliards et cinq mois de sursis.

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Les principes européens « n’ont pas été fondés sur le chantage et les ultimatums. En particulier en ces heures cruciales, personne n’a le droit de mettre en danger ces principes », a affirmé le Premier ministre grec. Alexis Tsipras est sous pression maximale pour accepter un accord avec ses créanciers, UE et FMI, pour éviter un défaut de paiement qui se rapproche inexorablement.

La chancelière allemande Angela Merkel a recommandé vendredi à la Grèce d’accepter « l’offre exceptionnellement généreuse » des créanciers avec lesquels Athènes négocie d’arrache-pied pour obtenir un nouveau renflouement, et qui propose de prolonger le plan d’aide en cours.

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