La vague de fusions déferle sur les télécoms européennes
Le sort des opérateurs belges dépend du reste de l’Europe et du politique. Les économies d’échelle et la limitation de la concurrence au menu de la consolidation en Europe. La convergence entre les services fixes et mobiles favorisent les opérations de fusion.

Les opérations de fusion et acquisitions se multiplient dans les télécoms en Europe, ayant de nouveau bondi d’un tiers à 60 milliards au premier trimestre selon Standard & Poor’s. Une tendance qui s’affirme aussi aux États-Unis où les opérations sont moins nombreuses mais plus coûteuses à l’image des récentes reprises de Time Warner Cable et Bright House par Charter Communications pour 90 milliards de dollars.
Convergence entre fixe et mobile
« Les rapprochements en Europe et aux États-Unis n’ont pas les mêmes origines » insiste toutefois Quirien Lemey, analyste chez Petercam. Outre-Atlantique, « le marché est déjà fortement concentré avec 2 opérateurs télécoms dominants (AT&T et Verizon) et 2 challengers plus faibles (T-Mobile US, filiale de Deutsche Telekom et Sprint, contrôlé par le Japonais Softbank) … la consolidation porte ainsi davantage sur l’émergence d’un troisième opérateur dominant ».

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