Article réservé aux abonnésPar Catherine MakereelTemps de lecture: 3 min
Lionelle Edoxi Gnoula. Prenez ses initiales – LEG – ajoutez-y le « s » de scène, et vous obtenez
LEGS
, titre d’un solo qui, forcément, charrie son lot d’héritage. Attention, pas le genre de donation qu’on inscrit sur un testament, mais plutôt ce qu’une vie peut vous léguer de bagage solide comme de fardeau à porter. Car l’existence de la comédienne burkinabée n’est pas de celles qui s’écrivent et se règlent sur des actes notariaux et autres successions familiales. Au contraire puisque la jeune femme n’a jamais été reconnue par son père, qui habitait pourtant à quelques pâtés de maisons de la sienne, dans un quartier pauvre de Ouagadougou.
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