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La Flandre n’a pas voulu signer l’accord avec Alibaba

Le ministre-président flamand, Geert Bourgeois, n’a pas voulu engager la Flandre dans cet accord de bonnes intentions. Il a fallu changer le texte et mettre les outils économiques à l’export comme signataires. Simple détail ?

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 3 min

Les partenaires politiques confirment un moment d’incompréhension partagé, mardi, quand la Région flamande, par la voix de son ministre-président, le N-VA Geert Bourgeois, a refusé d’approuver le texte du « memorandum of understanding » (protocole d’accord, ou MOU) que le Premier ministre, Charles Michel, le ministre fédéral de l’Économie, Kris Peeters, et les responsables d’Alibaba devaient signer le lendemain, ce mercredi donc. Kris Peeters, dont le parti est allié à la N-VA à la direction de la Flandre et au fédéral. Kris Peeters qui reconnaissait, après la signature, «  ne pas comprendre pourquoi ça bloquait. Mais tout a été vite réglé en changeant quelques mots.  »

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6 Commentaires

  • Posté par Lambinet Guy, vendredi 7 décembre 2018, 11:58

    la NVA anticipe le confédéralisme... c'est bien triste un aussi petit pays avec autant de problèmes ciommunautaires. On devrait être un fleuron de l'Europe et non le pays de discorde de l'Europe. Il faut espérer qu'aux prochaines élections, certaines choses s'arrangeront par la réduction de force de ce parti nationaliste.

  • Posté par Flasse Georges, jeudi 6 décembre 2018, 16:37

    Je suis honteux de l étroitesse d esprit d une grande partie de nos politiciens aux gouvernes de notre pays

  • Posté par Poullet Albert, jeudi 6 décembre 2018, 10:16

    Petite mentalité flamande.. faut pas aller plus loin !

  • Posté par Derauw Dominique, jeudi 6 décembre 2018, 9:36

    Ceci dit, l'argument selon lequel un Gouvernement ne signe pas d'accord avec une entreprise a quelque chose de rassurant. Je me souviens d'un certains José Happart qui avait signé un contrat avec un certain Bernie Eckelstone. Catastrophe qui avait engagé le gouvernement Wallon pour une décennie. Mais le bon José avait signé en toute confiance, vu que le contrat était en Anglais; langue que ni son hémisphère gauche ni son hémisphère droit n'était en mesure de comprendre. Et c'est bête, il n'y avait pas de traducteur disponible... Bref, il serait prudent que cet argument soit coulé dans une loi pour éviter à un gouvernement et par là, à une population entière, de se faire plumer par une armada d'avocats bien aguerris face aux alinéas des contrat commerciaux

  • Posté par Graas Thierry, jeudi 6 décembre 2018, 9:17

    Cela leur fait surtout mal aux tripes de voir un fleuron mondial de l'économie privilégier son installation et son développement futur (prometteur en termes d'emplois) en Wallonie !!! Ne cherchons pas ailleurs d'autres explications.

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