Nouvelle coalition fédérale: «Un entretien décevant avec le Premier ministre», selon le PS
Le PS ne se prononce pas à cette heure sur une éventuelle motion de méfiance au gouvernement.
Le chef de groupe PS, Ahmed Laaouej, a qualifié mardi de décevant l’entretien qu’il a eu avec le Premier ministre, Charles Michel.
«Je ne crois pas que le Premier ministre comprend l’urgence politique dans laquelle il est. Je n’ai entendu aucun engagement sur une vraie rupture. Ni politique: le Premier ministre continue de consulter, voire de négocier avec la N-VA; ni vis-à-vis de la politique anti-sociale menée jusqu’à présent. Il n’y avait rien sur une baisse la TVA sur l’électricité, sur ce relèvement de l’âge de la pension à 67 ans que personne ne comprend, sur la pénibilité, etc.» a expliqué M. Laaouej.
Le PS ne se prononce pas à cette heure sur une éventuelle motion de méfiance au gouvernement. Il attend d’entendre les explications que fournira mercredi le Premier ministre à la Chambre.
«Le PS ne sera pas la béquille d’un gouvernement chancelant», a-t-il toutefois précisé.
> Carte blanche: face à la crise gouvernementale, un indispensable vote de confiance
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir23 Commentaires
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Posté par Ancion Eric, mardi 11 décembre 2018, 19:25
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Posté par Dardenne Ghislain, mardi 11 décembre 2018, 19:19
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Posté par Leroy christian, mardi 11 décembre 2018, 20:16
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Posté par Leroy christian, mardi 11 décembre 2018, 17:43
Plus de commentairesEn principe mais je puis me tromper! "je ne crois pas que le premier ministre COMPRENNE..." Subjonctif! Le français est une langue qui se meurt... Que l'entretien fut décevant, d'où sort-il monsieur Laaouej pour avoir espéré autre chose?
Et vous croyez que le knock-down est une bonne solution. Les uns appellent à une union francophone. D'autres ne jurent que par la chute du gouvernement. Abattre un mur, c'est facile. Reconstruire, c'est moins aisé. Mais, ça vaut peut-être la peine.
Honnêtement, je pense tout simplement que notre modèle de société occidental se fissure de plus en plus et que nos politiciens, quels que soient les horizons d'où ils viennent, n'ont ... tout simplement pas de recettes magiques pour arranger les choses. La crise? On y est entré en 1973 ... et depuis lors rien ne s'est arrangé et cela va de mal en pis! Nos politiciens sont impuissants. Ce n'est pas un reproche, c'est un constat! Qu'ils aient au moins l'humilité de dire et de reconnaître qu'ils sont impuissants!
Le gouvernement est dans les cordes! A quand le knock-down!