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Voici les contours du plan énergie-climat belge

Le futur plan énergie-climat belge est toujours en cours de discussion au sein du fédéral et entre le fédéral et les Régions. Mais ses contours se dessinent. Reste à savoir s’il correspond aux exigences européennes.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 6 min

Comment se dessinera la politique belge en matière d’énergie et de climat d’ici 2030 ? La réponse à cette question se trouve dans un volumineux plan que notre pays communiquera prochainement à la Commission européenne. Après que chaque Région a remis sa contribution à l’œuvre commune, on attend la part du fédéral. Le tout doit être chapeauté par une synthèse, toujours en discussion entre les cabinets régionaux et fédéral. Puis adopté lors d’un comité de concertation le 19 décembre. Les Régions ont insisté là-dessus, mardi, afin d’obtenir du fédéral qu’il respecte ses engagements. Tout n’est pas encore fixé : un énième « intercabinet » avait encore lieu ce mercredi, mais Le Soir a pu prendre connaissance de l’état d’avancement de ce travail qui devait se poursuivre « au finish », jeudi.

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7 Commentaires

  • Posté par Philippe Pasman, samedi 2 mars 2019, 8:15

    Ce que réclamaient 75.000 personnes sur 11.000.000 d'habitants???

  • Posté par Dopchie Henri, jeudi 13 décembre 2018, 17:47

    Tout cela, et Nollet considère que c'est encore insuffisant… Et pourquoi ne pas garder nos centrales nucléaires? du moins tant que l'Agence fédérale de Contrôle nucléaire le permet.

  • Posté par Bayens Remi, mercredi 12 décembre 2018, 18:28

    La Belgique décide d'arrêter nos centrales nucléaires, les Pays Bas décident eux d'en construire une nouvelle. Cherchez l'erreur ! Avec le nucléaire, nous nous trouverions au même niveau que la France qui ont actuellement dans peloton de tête de du bas CO2.

  • Posté par Van Obberghen Paul, mercredi 12 décembre 2018, 16:35

    "inciter à changer de modes de déplacement" Mais qui va faire cet effort? Evidemment, les moins nantis! Les plus nantis peuvent eux se payer une voiture électrique et ne rien changer à leurs modes de déplacements. Et aussi, ceux qui sont dans une suffisement bonne forme physique que pour pouvoir marcher, pédaler ou rester debout dans des transports en commun bondés. Pour les pauvres qui ne sont pas en formes, ça sera "dommaaaage". Et pour ceux pour qui les transports en commun ne sont pas praticables professionnellement et qui n'auront pas les moyens de passer au tout électrique, ça sera aussi "dommaaaage". Au final, ce sera ceux qui feront le plus d'efforts (les moins riches) qui bénéficieront à ceux qui en feront le moins (les plus riches). Air connu...

  • Posté par Van Obberghen Paul, mercredi 12 décembre 2018, 16:24

    Ajouter des agrocarburants aux carburants fossiles ne sert (presque) à rien du point de vue CO2. Certes, les agrocarburants sont moins polluants que les carburants fossiles en termes de particules fines, de NOx et de SOx, mais on rejette toujours du CO2 dans l'atmosphère, alors que ce qu'il faut faire réellement c'est re-capturer l'excédent qui s'y trouve déjà et qui n'est pas réabsorber par la nature. Ce CO2 a certes été capturé très récemment - quelques mois ou années en comparaison de millions d'années pour les carburants fossiles - mais il s'ajoute toujours au C02 déjà excessif. Les biocarburants (pas que agro d'ailleurs) seront nécessaires là où les hydrocarburants sont la seule source d'énergie possible actuellement, c'est à dire dans le transport aérien, du fait de leur poids. Les batteries devront multiplier par 50 leur capacité de stockage par unité de poids pour espérer concurrencer les hydrocarburants. On en est encore loin. Il y aura des solutions hybrides, comme pour l'automobile, mais le 100% électrique sur batteries, ça n'est pas pour demain.

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