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La finesse, une qualité indispensable

Du 100 % belge, du belge calibré en Chine, de l’import de Chine : autant de formules que de qualités propres et d’utilisations différentes. Sans oublier les boyaux synthétiques, qui commencent eux aussi à s’en mettre plein les fouilles.

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Pour André De Winter, patron de Van Hessen Belgium, « le boyau naturel est le plus délicieux ». Henri Berghmans, artisan boyaudier anderlechtois, confirme : « Rien de mieux que le naturel ! »

Pourtant, on trouve également des boyaux en cellulose, en plastique et en collagène. Ce dernier, produit à base de peau de bœuf, entre en concurrence avec le naturel. « Son coût de fabrication est plus élevé, mais la productivité est bien plus importante », reconnaît André De Winter, tout en le dénigrant : « C’est du chewing-gum ! » Et Henri Berghmans de renchérir : « C’est impossible à cuire ! » Les raisons de son succès ? Il remplace bien le boyau naturel de bœuf, qu’il faut essentiellement importer d’Amérique du Sud et qui coûte très cher.

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