On pourra redoubler en première secondaire
Le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a validé ce mercredi, en première lecture, le code balisant le futur tronc commun dans l’enseignement obligatoire.


De quoi parle-t-on ? « Ce Code, explique la ministre de l’Éducation, Marie-Martine Schyns (CDH), prévoit la fin de la promotion automatique en 1re secondaire et la diminution de 50 % du redoublement d’ici 2030, grâce à un accompagnement plus personnalisé des élèves ». Il prend corps sous la forme d’un « code » pour actualiser et simplifier les textes législatifs existants.
Le tronc commun organise le temps scolaire dans une diversité de domaines et de disciplines « afin que l’assimilation des apprentissages de base résulte d’une combinaison de savoirs, savoir-faire et compétences théoriques et de leur mise en application pratique ». Ainsi, l’apprentissage de langue française sera prolongé par le travail d’expression orale au sein de l’éducation culturelle et artistique ainsi que par la découverte de ses racines étymologiques et culturelles via une initiation aux langues anciennes.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir20 Commentaires
-
Posté par De Cuyper Thierry, mercredi 6 mars 2019, 11:06
-
Posté par De Cuyper Thierry, mercredi 6 mars 2019, 11:03
-
Posté par Jaspers Marie, dimanche 30 décembre 2018, 18:34
-
Posté par De Cuyper Thierry, mercredi 6 mars 2019, 10:54
-
Posté par Léonard Jean-luc, vendredi 21 décembre 2018, 18:23
Plus de commentairesLes conséquences du redoublement sont connues depuis longtemps : l'impression de ne pas être à la hauteur des exigences, se sentir nul, perte de confiance en soi, faible estime de soi, fragilité psychologique, impression de ne pas pouvoir avoir la maitrise de son destin, de ne pas pouvoir changer le parcours de sa destinée, dégoût d'entreprendre quoi que ce soit, car "à quoi ça sert, je n'y arriverai quand même pas", retard d'arrivée sur le marché du travail…. quand on arrive, avec une impression d'être nul, avoir suivi une filière au rabais, car l'école n'a pas cru en vous, perte d'années pour la pension, aversion pour l'école, peur lorsque ses propres enfants sont confrontés à l'échec qui reste endémique depuis des générations, crainte de jamais être à la hauteur, ...MAIS POURQUOI DONC LA MINISTRE SCHYNS TENTE ELLE DE LE REMETTRE EN 1° SECONDAIRE ET DONC DANS CHAQUE ANNEE DU TRONC COMMUN ?
Comment s'assurer que le redoublement ne sera utilisé qu'en dernier recours, puisque les résultats du CEB varient d'année en année de 3% à 15 % ? Où est le bon sens de cette mesure ?
A Thierry De Cuyper 20 décembre 2018.Monsieur De Cuyper, vous inversez les rôles : ce n'est pas au prof à démontrer qu'il a TOUT (???)fait pour que l'élève lambda réussisse mais c'est à ce dernier à démontrer qu'il a TOUT fait pour réussir! Par exemple avoir exprimé qu'il a revu son cours DEUX fois avant la veille de contrôle ou de l'examen ou avoir démontré qu'il a refait TOUT SEUL les exercices faits en classe (pour les cours de maths et physique)
Et bien si, chere mariejedespersdemesélèves, c'est bien à l'enseignant à s'assurer qu'il a TOUT fait pour que ses élèves réussissent!! Ce principe permet de ne pas faire bisser les élèves car personne ne peut prouver qu'il n'existe qu'il n'existera aucun moyen pour aider les enfants.
La procession d'Echternach: deux pas en avant, un en arrière. Mais enfin, une mesure de bon sens, qui évitera que les potaches de 1ère secondaire se fichent des examens comme un poisson d'une pomme.