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Mikhaël Hers: «Représenter l’horreur en étant digne»

Raconter Paris post-attentats dans sa violence contemporaine tout en restant à hauteur humaine, c’est le pari gagné de « Amanda ».

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 4 min

Pour Mikhaël Hers, le cinéma était une promesse abstraite car il n’avait aucune connexion avec le milieu. Il a donc fait des études d’économie mais au pied du mur du monde du travail, il passe le concours de Fémis pour se donner une légitimité. Depuis, il tourne des films. Amanda est son troisième long-métrage.

Pourquoi ce choix d’un attentat terroriste comme pivot du film ?

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