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«Il faut réparer Facebook», qu’il disait: Mark Zuckerberg n’a pas tenu sa promesse de 2018

Les polémiques se sont enchaînées pour le premier réseau social au monde, avec des conséquences inédites dans l’histoire politique des Etats-Unis et pour l’économie de la Silicon Valley.

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Responsable du pôle Multimédias Temps de lecture: 7 min

Comme le disait élégamment Jacques Chirac, dans un fatalisme tout corrézien, « les emmerdes, ça vole toujours en escadrille ». Mark Zuckerberg (34 ans) aura eu douze mois pour déjouer cette maxime. En vain. Pour le patron de Facebook, 2018 se termine résolument comme elle a commencé : mal.

Au départ, pourtant, on y croyait. Comme chaque année, le fondateur de Facebook y allait de sa petite résolution, publiée sur sa page. Jadis, il avait ainsi promis de « visiter chaque Etat des Etats-Unis », « de courir 365 miles », « de lire 25 livres » ou « d’apprendre le mandarin ». Autant de promesses tenues. « Je veux réparer Facebook », jure-t-il le 4 janvier. Rien que ça.

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1 Commentaire

  • Posté par Deckers Björn, mardi 1 janvier 2019, 15:53

    Pour ma part j'ai quitté le réseau dès lors qu'il était annoncé qu'on ne pouvait y publier la photo du tableau "l'origine du monde" et ce dans le même temps que le réseau "social" permettait aux barbares d'Allah de publier des vidéo de leurs crimes. Chacun sa moral... et surtout chacun sa conscience. Avant même les scandales de type Cambridge Analytica, il était clair que ce réseau était une pourriture, une gangrène. Avec 2,2 milliards d'inscrits, Facebook est devenu un excellent vecteur de propagande pour les intérêts privés les plus fourbes, et cela vient encore de se manifester récemment au Brésil. 2,2 milliards de réseautés-dépendants, une puissance dingo dans les mains d'un garçon qui joue au game boy et veut juste faire du fric. Youpie!

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