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Louis-Julien Petit: «On ne transgresse pas par choix!»

Face à la montée des injustices sociales, Louis-Julien Petit adopte la rébellion positive. « Les invisibles » est un film militant qui donne la patate.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 7 min

La rébellion positive ! C’est le combat de Louis-Julien Petit depuis qu’il a vu, à 13 ans, La vie est belle, de Benigni. Pendant trois ans, il vient de mettre sa vie entre parenthèses pour rendre visibles les exclus de la société avec crédibilité. Sur base du livre de Claire Lajeunie mais aussi en allant comme bénévole dans des centres pour SDF.

Cinéaste engagé, militant dans la veine d’un Ken Loach, il a du pain sur la planche avec les injustices sociales. Après Discount sur le gâchis alimentaire et Carole Matthieu sur le burn-out professionnel, il aborde la réinsertion des femmes de la rue.

Quel a été le déclic des « Invisibles » ?

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