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Courrier suspect chez Francken: les réseaux sociaux exposent-ils les politiques à davantage de menaces?

Theo Francken a reçu un courrier suspect, rempli de poudre. Pas la première fois que l’ex-secrétaire d’Etat, star de Twitter et Facebook, fait l’objet de menaces.

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Journaliste au service Enquêtes Temps de lecture: 4 min

La maison de Theo Francken a été placée en quarantaine pendant plusieurs heures lundi, après que le député N-VA a découvert de la poudre suspecte dans une lettre qu’il avait rapportée du bureau. « Ceci n’est pas agréable, a rapidement réagi Theo Francken dans une vidéo postée sur Facebook. J’ai des jeunes enfants, c’est trop lourd. On crée la haine, on me dépeint comme un soldat nazi avec un fusil dégainé, comme l’ont fait Groen, les jeunes de Groen et d’Ecolo. Et cela continue encore et ils pensent pouvoir tout se permettre. Ils sèment la haine de cette façon. Et puis vous obtenez des gens qui sont fous et qui font des choses folles. » Nicolas Baygert, professeur de communication politique à l’ULB, l’Ihecs et Sciences Po, analyse les risques inhérents à une stratégie de communication directe via les réseaux sociaux.

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