NinaLisa Nina et Lisa Simone: un face-à-face enchanteur
Merveilleuses Isnelle da Silveira et Dyna, parfait Charles Loos.
Du 16 au 18 juin à l'Ancre (Charleroi).
Article réservé aux abonnésResponsable des "Livres du Soir"
Par Jean-Claude VantroyenTemps de lecture: 3 min
Nina Simone, une chanteuse qui a marqué le XXe siècle. Lisa Simone, sa fille, une chanteuse qui s’impose au XXIe siècle. Leurs relations n’ont pas toujours été sereines. Lisa a été ballottée par sa mère : aux États-Unis, au Sénégal, au Liberia, en Suisse, en France. Elle s’est même un temps réfugié chez son père, Andrew Stroud, à New York. Désemparée, elle s’est enrôlée à l’armée, où elle resta douze ans. Puis c’est la comédie musicale, la pop, le jazz, une carrière et la réconciliation avec sa mère. Une Nina Simone, perdue elle aussi. Une des plus belles voix du blues et du jazz est minée, par le désintérêt des majors, par sa bipolarité, par son cancer du sein, par son penchant pour l’alcool. Dans cette pièce, elle revit.
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Paradise City se présente depuis longtemps comme le festival «le plus vert et le plus écologique» de Belgique. Un pilier important de la stratégie de durabilité concerne la mobilité : le festival souhaite réduire de 40 % le nombre de visiteurs venant en voiture.
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