Dominique Sabrier était venue chercher la paix à Bruxelles
La retraitée de nationalité française avait quitté Paris, angoissée par la montée du climat antisémite.

Cela ne faisait que quelques semaines que Dominique Sabrier (66 ans) avait pris ses fonctions de guide bénévole au Musée juif de Belgique.
La retraitée de nationalité française avait quitté Paris, angoissée par la montée du climat antisémite qu’elle ressentait dans son quartier depuis les attentats de Toulouse et Montauban, pour vivre au calme dans un appartement à Uccle. Alors qu’elle avait passé une grande partie de son existence entre Genève, Paris et Tel-Aviv, Dominique Sabrier considérait Bruxelles comme un havre de paix. Elle n’avait très certainement jamais imaginé qu’elle y trouverait la mort dans cette ville rassurante et en raison de sa judéité.

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